LE SITE OFFICIEL DE BERNARD FALQUE DE BEZAURE

COLLECTION
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS
TEMPLIERS DE GRÉOUX-LES-BAINS
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DE GRÉOUX-LES-BAINS

Cette étude sur le passé médiéval de Gréoux-les-Bains fut plusieurs fois reprise. De nombreux auteurs du XVIIIe siècle dans leurs monographies de Gréoux désignent l’Ordre du Temple comme seigneur de Gréoux en se fondant sur les archives de Turrel, baille de Moustiers chargé en 1308 de saisir les biens du Temple du diocèse de Riez. Depuis la publication en 1996 de notre étude Sur les traces des Templiers de Gréoux-les-Bains, nos recherches ont permis à plusieurs chercheurs de compléter leur travail. L’histoire est faite d’un dialogue permettant à tout chercheur de construire l’édifice avec les matériaux qu’il apporte, et sa moisson de documents nouveaux peut conduire à rectifier l’éclairage d’une partie de l’histoire locale. C’est une règle de jeu que tout historien doit admettre dès lors qu’il publie le résultat de ses recherches. Ce qui n’est pas le cas de Mme Sandrine Claude, dans son ouvrage Le château de Gréoux-les-Bains, publié en 2000 par les éditions de la Maison des Sciences de l’Homme. En effet, cette archéologue éminente dans sa spécialité :  la construction médiévale, est la seule à contester notre travail par des Je suppose… Il est possible… Ce n’est pas avec des expressions de doute que l’on entame une polémique sur un sujet quel qu’il soit. Ce n’est pas caduc parce que les archives sont perdues comme elle l’affirme !!! Que cette archéologue nous apporte des sources et des documents d’époque, irréfutables, concernant la non-possession templière du château de Gréoux-les-Bains, et nous serons prêts à en discuter. Quant à nous, ce sont plus de 30 ans de recherches dans les archives, les cartulaires, les différents actes, les bibliothèques locales, nationales ou internationales qui nous ont amené à considérer que la Milice du Temple a véritablement occupé le Château de Gréoux-les-Bains, et les terres avoisinantes sur cette même commune.

2000, 285 pages, 25

TEMPLIERS DE HAUTE-PROVENCE
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DE HAUTE-PROVENCE

Dans ce département de la Haute-Provence, l’implantation des Templiers s’est faite, au retour de la 1ère Croisade, par des donations de l’Abbaye de St.Victor de Marseille et des Comtes de Provence de la Maison royale de Barcelone-Aragon. Grâce également à d’autres donations, comme celles des Catalans-Pyrénéens de la mouvance de la Famille d’Urgel, des Comtes de Forcalquier, et de leurs successeurs les Sabran… Dans la partie alpine, les donations furent faites par les Croisés alpins revenus de Jérusalem avec Pierre de Castellane et Guillaume dit de Poitiers, des seigneurs de Nice (même famille que les Adhémar et les Vicomtes de Marseille). De nombreuses autres donations sont à l’origine des implantations en Haute Provence, notamment par les familles Pontevès, Pagan de Bagaris, Penas de Moustiers-Sainte-Marie, par les seigneurs et évêques de Riez, Sisteron, Digne. La vocation du Temple dans la Haute-Provence était celle du grand élevage ovin pour la viande, la laine et le cuir. Les Templiers de Provence avaient également un rôle de protection du commerce et des pèlerinages. Ils eurent la garde des forteresses, en association avec les Hospitaliers de St. Jean de Jérusalem, comme le signalent les actes concernant la citadelle de Sisteron ou les lieux de Rousset et Gréoux, mais également la protection des tours de vigie du Pays du Verdon, de Jabron et d’Artuby.

2000, 235 pages, 25

TEMPLIERS DES HAUTES-ALPES
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DES HAUTES-ALPES

Le lecteur trouvera ici un inventaire des anciennes possessions de la Milice du Temple de Salomon. Les Templiers sont arrivés en même temps que les Hospitaliers de St. Jean de Jérusalem après l’éclatement de la confrérie du St. Sépulcre de Jérusalem. Ils s’installèrent à Chorges suite à une donation de l’Abbaye de Boscodon, en 1135, ainsi qu’à Largentière, terres reprises en 1315 par cette même abbaye donatrice, selon l’archiviste M.J. Roman : « Les malades et les voyageurs recevaient des secours dans les Commanderies et Maisons annexes des Ordres du Temple de St. Jean de Jérusalem et de St Antoine. Il y avait un grand nombre d’hospices ouverts dans les villes et les campagnes ». Il cite les grandes Commanderies de Briançon, Embrun, Tallard, Gap, La Roche Arnaud, Moyolans, Remellon et Veynes. L’historien Ulysse Chevalier a démontré, à travers les archives d’Embrun et de Gap que les Templiers et les Hospitaliers se trouvaient ensemble dans de nombreuses localités de ce département. Les Templiers assuraient la protection et la sécurité des voies commerciales et des voies de pèlerinages. Ils pratiquaient également le transfert de fonds vers l’Italie, et possédaient de nombreux troupeaux de moutons, pour la laine et pour leurs tanneries très prospères dans cette région.

2000, 238 pages, 25

TEMPLIERS DE VAUCLUSE
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DE VAUCLUSE

C’est à une véritable leçon d’histoire que nous convie Bernard Falque de Bezaure dans cette collection destinée à tous les publics, où les érudits trouveront matière à référence, les amateurs d’Histoire combleront leur passion, les amoureux de la Provence découvriront le pays sous un tout autre jour. Les inconditionnels de la randonnée y trouveront des circuits originaux. Les sources de cet ouvrage sont basées sur le Cartulaire de Richerenches et sur les monographies locales ; mais également sur les Archives d’Avignon, de Carpentras, de Nimes, d’Arles. Nous faisons référence également aux Cartulaires et Archives de la Série B des Archives des Bouches-du-Rhône, aux Archives du Grand Prieuré Hospitalier de Saint-Gilles. Quant aux Cartulaires de Sénanque et d’Apt, ils sont une source indispensable dans nos recherches.

2000, 239 pages, 28

TEMPLIERS DES BOUCHES-DU-RHÔNE
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DES BOUCHES-DU-RHÔNE
TOME I

Cet ouvrage et le suivant sont un inventaire des anciennes possessions de la Milice du Temple dans les Bouches  du Rhône. En campagne, il ne reste plus rien des anciennes fermes templières de la Vallée de l’Arc et de la Vallée de la Durance. Des archéologues firent des fouilles sur certains de ces lieux, mais leurs recherches mirent à jour des ruines antérieures à l’arrivée des Templiers, comme au château des Quatre Tours à Roquepertuse, sur la  commune de Velaux, ou encore sur les communes d’Eguilles, de Ventabren. Les anciennes possessions de la « Maison Blanche », ferme templière et lieu-dit de la Commanderie furent découvertes sur un ancien lieu de la Préhistoire, saccagé et détruit… pour la construction du… T.G.V. Pour la partie nord du département (vallées de l’Arc et de la Durance), l’origine des biens du Temple sont les donations faites par la famille Archambaud de Saint-Aman, qui naquit à Saint-Chamas (Bouches du Rhône), à l’origine, lors de la 1ère Croisade, de la fondation de la Milice du Temple avec 30 autres Chevaliers laïcs de la Militia-Christi-Evangelica. De cette Milice, faisaient également partie Hugues Peccator, chanoine de Saint-Victor de Marseille, chanoine du Saint Sépulcre, mais également Guillaume dit de Poitiers des vicomtes de Marseille et Nice. Odon de Saint-Aman, Maître du Temple, est issu de cette famille provençale. Ces possessions ont pour origine des Milites Christi fondées par les rois d’Aragon-Catalogne, comtes de Provence : en Béarn, celles du Bel-Chit, et en Aragon, celles de Montréal. Ces Milites Christi formeront les cadres de recrutement en Provence-Languedoc de la future Milice du Temple. Lors du Concile de Troyes, ils deviendront membres de la « Milice du Temple », en même temps que Raimond Béranger III, comte de Barcelone, devenu Templier en 1130. C’est de ces Milices de Montréal et du Bel-Chit qu’est issu le Chevalier laïc Guillaume dit de Poitiers, à l’origine, avec Eudes Saint-Aman, de la fondation de l’Ordre du Temple, avec d’autres seigneurs Provençaux, Aragonais, Catalans et Languedociens.

2000, 420 pages, 28

TEMPLIERS DES BOUCHES-DU-RHÔNE
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DES BOUCHES-DU-RHÔNE
Tome II

Quand les Templiers apparurent, à la fin du XIIème siècle, le débat mortel au sein de la Communauté chrétienne n’était pas terminé... L’Inquisition faisait son apparition avec les Dominicains. On sait comment cela s’est terminé... Les bûchers pour les cathares, les Templiers, les moines béguins et spirituels (franciscains) ainsi que pour des moines d’origine mozarabe et wisigothe... (moines petrobusianes dont le célèbre Henri de Lausanne). C’est-à-dire la domination de l’Intolérance et de l’Exclusion ; parce que les Templiers étaient spirituellement des Esséniens qui voulaient reconstruire le 3ème temple. Mais les siècles passèrent et l’Eglise Catholique Romaine n’est plus celle qu’a voulu créer et imposer Constantin. Elle est revenue à son origine, celle que Jésus prêcha en Palestine. La Religion de l’Amour : « Aimez-vous les uns les autres ». Quant à la vérité historique sur les dogmes, cela reste du domaine personnel où chacun, en sa conscience, est juge...
Je dédie cet ouvrage à ceux pour qui le culte du Passé Historique est le seul moyen de fixer notre mémoire, de faire revivre le souvenir reconnaissant de ceux qui ont participé à la grandeur morale des peuples issus d’un même tronc au travers de leurs philosophies et de leurs croyances. Que les jeunes générations et celles à venir trouvent ici un cheminement et une réponse à leurs interrogations... Nous aurons alors fait œuvre utile... En ce sens que nous aurons ouvert la Voie de la discussion, de la réflexion et peut-être... de la lumière. Et, comme disait le poète anglais Wordsworth : mettons-nous « Au travail et à la prière, à la nature et à Dieu ».

2002, 270 pages, 25

TEMPLIERS DU VAR ET DES ALPES-MARITIMES
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DU VAR
ET DES ALPES-MARITIMES

Cet ouvrage est un inventaire des anciennes possessions des Templiers implantées sur les départements du Var et des Alpes-Maritimes. Ces possessions ont pour origine des Milites Christi fondées par les rois d’Aragon-Catalogne, comtes de Provence : en Béarn, celles du Bel-Chit, et en Aragon, celles de Montréal. Ces Milites Christi formeront les cadres de recrutement en Provence-Languedoc de la future Milice du Temple. Lors du Concile de Troyes, ils deviendront membres de la « Milice du Temple », en même temps que Raimond Béranger III, comte de Barcelone, devenu Templier en 1130. C’est de ces Milices de Montréal et du Bel-Chit qu’est issu le Chevalier laïc Guillaume dit de Poitiers, à l’origine, avec Eudes Saint-Aman, de la fondation de l’Ordre du Temple, avec d’autres seigneurs Provençaux, Aragonais, Catalans et Languedociens.

2000, 185 pages, 25

TEMPLIERS DE LA DRÔME, DU GARD, DE L'HÉRAULT
SUR LES TRACES DES TEMPLIERS DE LA DRÔME,
DU GARD, DE L'HÉRAULT

A la suppression des templiers, nombre de biens passeront dans le Midi entre les mains des dauphins, des comtes de Provence. En Languedoc, elles tomberont entre les mains des croisés de Simon de Montfort et du triste Nogaret. D’autres possessions templières iront dans des familles proches du Pape, notamment Arnaud de Trian. Par la suite, ce sont les Hospitaliers ainsi que d’autres Ordres Militaires qui récupèreront ces biens templiers. De nombreux biens retourneront dans les anciennes familles donatrices, mais également dans les évêchés et abbayes. (Sources : archives médiévales, notamment cartulaires ; et archives notariales).

2000, 198 pages, 25

Templier
TRÉSOR MATÉRIEL ET SPIRITUEL DES TEMPLIERS
TRÉSOR MATÉRIEL ET SPIRITUEL DES TEMPLIERS
TOME I

Trésor, mot magique qui fait rêver. Aujourd’hui, Bernard Falque de Bezaure, avec son enquête A la Recherche du Trésor matériel et spirituel des Templiers, nous fait découvrir des lieux-dits inédits à travers la France, l’Europe, mais également un parcours de l’Occident à l’Orient… Ce voyage dans le temps et dans l’espace à travers les archives fait route vers les Amériques et l’Asie par les navires de la Milice du Christ du Portugal.
C’est à une véritable leçon d’Histoire, d’Archéologie, que nous convie l’auteur où les inconditionnels de la randonnée assouviront leur soif de connaissance et communieront dans la fraternité avec ces peuples qui nous donnent une belle leçon de tolérance et d’humanisme universel.
Cette quête du merveilleux nous dévoile d’une façon matérialiste, la véritable origine de la création et de l’implantation des Maisons du Temple.
Le lecteur y découvrira l’héritage de ceux qui devinrent les Compagnons du Devoir, bâtisseurs de nos cathédrales.

2000, 395 pages, 40

TRÉSOR MATÉRIEL ET SPIRITUEL DES TEMPLIERS
TRÉSOR MATÉRIEL ET SPIRITUEL DES TEMPLIERS
TOME II

Trésor, mot magique qui fait rêver. Aujourd’hui, Bernard Falque de Bezaure, avec son enquête A la Recherche du Trésor matériel et spirituel des Templiers, nous fait découvrir des lieux-dits inédits à travers la France, l’Europe, mais également un parcours de l’Occident à l’Orient… Ce voyage dans le temps et dans l’espace à travers les archives fait route vers les Amériques et l’Asie par les navires de la Milice du Christ du Portugal.
C’est à une véritable leçon d’Histoire, d’Archéologie, que nous convie l’auteur où les inconditionnels de la randonnée assouviront leur soif de connaissance et communieront dans la fraternité avec ces peuples qui nous donnent une belle leçon de tolérance et d’humanisme universel.
Cette quête du merveilleux nous dévoile d’une façon matérialiste, la véritable origine de la création et de l’implantation des Maisons du Temple.
Le lecteur y découvrira l’héritage de ceux qui devinrent les Compagnons du Devoir, bâtisseurs de nos cathédrales.

2000, 395 pages, 40

MILITES TEMPLI
MILITES TEMPLI

De pertinentes recherches ont été entreprises par l’auteur à-travers des études dites confidentielles, mais également à-travers les archives provençales du château de la Verdière, du château de Grimaud, concernant l’origine du 1er Grand Maître de l’Ordre du Temple, Hugues de Paganis, dit Bourguet, moine et chanoine de Saint-Victor de Marseille. Ces archives furent publiées par le grand historien de la Provence, Honoré Bouche, dans sa Chronographie de Provence. (Voir à ce sujet une étude récente de Richard Buadès consacrée à Hugues de Pagan, dit Bagaris, dans un ouvrage collectif : Contre-enquête sur l’Ile des Veilleurs. Ouvrage co-écrit avec Paul Amoros, du Moulin du Soleil… dans le Pays du Verdon. Publié par Thierry Garnier des Editions Arqa). Ces documents donnent aussi corps à des vérités historiques qui, jusqu’à ce jour, étaient considérées comme des contes et légendes… Issus des polémiques entre historiens, en ce qui concerne le Mystère des Templiers. Le lecteur découvrira également l’origine de l’accord entre les Templiers Arméniens et l’Islam au sujet de la gestion des biens chrétiens en terre d’Islam, faits révélés dans le Firman de Mahomet et des Haidiths de ses successeurs… (faits que rejeta Rome)… « le mortel secret » de Mleh Roupen, Maître du Temple d’Arménie (Cilicie). Le lecteur découvrira encore que de nombreuses Commanderies étaient dédiées à Marie-Madeleine… Origine du  secret des Templiers sur le mot Magdala (nom agglutiné pré-indo européen) et de sa descendance…

2009, 383 pages, 30

LES TEMPLIERS DES PAYS D'OC
LES TEMPLIERS DES PAYS D'OC
TOME 1 - LANGUEDOC-ROUSSILLON

Le lecteur trouvera dans cet ouvrage : tome I des Templiers des Pays d’Oc : des origines surprenantes du fondateur de la Militi Templi de Salomon, à travers les Manuscrits 37 de la Bibliothèque de Nimes, dites Archives de Nogaret et des Jésuites… – les sources des Chartreux… son fondateur de la Milice du Temple, dans le Manuscrit 515 de la Bibliothèque de Carpentras – les liens qu’eurent les Templiers avec les comtes de Provence de la Maison d’Aragon dans la Militia-Christi- Evangelica… de Mont-Real et du Bel-Chit, qui furent cadres de la Milice du Temple dans le Midi – les liens des Cathares avec les Mahométants et les Templiers… dans le Mystère du Suaire de Turin et du Baphomet – la liste des Commanderies et Maisons du Temple. Bernard Falque de Bezaure, ancien archiviste de la Ville d’Aix en Provence et adjoint au Conservateur de la Bibliothèque Méjanes d’Aix en Provence, appartient à une famille qui a donné des Chevaliers à la Milice du Temple de Salomon et à l’Ordre des Chevaliers Hospitaliers de Jérusalem (Ordre de Rhodes puis de Malte).

2010, 279 pages, 29

LES TEMPLIERS DES PAYS D'OC
LES TEMPLIERS DES PAYS D'OC
TOME 1I - MIDI-PYRÉNÉES

Dans ces deux tomes des Templiers des Pays d'Oc, le lecteur trouvera matière à référence, et sera peut-être même surpris.
Le chercheur, lui, assouvira sa passion en découvrant le Midi médiéval de la France du XIème au XIVème siècles. Ce sera pour lui l'occasion de nombreuses randonnées dans des circuits originaux sur la quête spirituelle de ces moines-soldats. Il découvrira l'implantation de ces couvents-forteresses connus sous le nom de commanderies, témoins irréfutables de la création et de l'organisation de la Milice du Temple de Salomon dans le Midi de la France.

2012, 155 pages, 29

NOS ANCÊTRES LES GAULOIS
NOS ANCÊTRES LES GAULOIS

Nous avons repris les textes du grand historien Henri Martin, prix Gaubert de l’Académie Française en 1859, en reprint. L’archéologie celtique en Europe confirme ses recherches dans l’étude des mœurs des Gaulois, de leur vie quotidienne, de leurs conquêtes et de leur spiritualité druidique…
Ce livre est un hommage à son immense travail. Henri Martin est l’auteur de l’Histoire des Gaules en 16 volumes dont nos lecteurs trouveront ici des extraits de ses recherches concernant nos Ancêtres les Gaulois…
Le terme Celte englobe tous les peuples qui parlent ou ont parlé une langue celtique. Le terme Gaulois désigne les habitants de la Gaule, celle-ci s’étendant du Rhin aux Pyrénées et se prolongeant en Suisse et dans la Plaine du Pô.
Les Celtes ont au moins 25 siècles d’Histoire, et celle-ci se continue de nos jours à travers l’État Irlandais, le seul État celte au monde, dont le gaëlique en est la langue officielle ; l’esprit celtique y imprègne toute la vie sociale et culturelle. Cette Histoire se continue également à travers l’Écosse, le Pays de Galles… la Bretagne armoricaine et même la Galicie.

2009, 480 pages, 25

L'OR DES GAULOIS
L'OR DES GAULOIS

De tous les métaux, l’or est peut-être celui qui a été utilisé le premier par l’industrie humaine. On en retrouve la trace dans l’antiquité la plus reculée et chez tous les peuples, même les moins civilisés. On constate aussi, en examinant les annales antiques, l’importance très grande de l’or et de l’argent dans les échanges commerciaux dès les époques les plus reculées, et l’on s’étonne du peu d’ancienneté de l’invention de la monnaie qui n’apparut vraiment que 700 ans avant notre ère, en Gaule.
La partie de la Gaule, située au sud de la Narbonnaise, était surnommée Gallia aurifera en raison de ses richesses aurifères. Le monnayage constituait pour ces peuples de la Gaule un moyen d’affirmer leur identité culturelle. Les Gaulois frappaient monnaie et se situaient parmi les premiers émetteurs de monnaie d’or en Gaule.

2009, 126 pages, 15

AU PAYS DES QUATRE REINES DANS LE GRAND LUBERON
AU PAYS DES QUATRE REINES DANS LE GRAND LUBERON

Le choix de mon sujet m’a été inspiré en 1970, au château de Sauvan, propriété familiale, par l’écrivain archéologue Jean Barruol, ami de longue date de mes parents. Le livre a été publié en 1973, édité par les Editions Raynaud de Forcalquier. Celui-ci est donc une réimpression, auquel j’ai ajouté en annexe : l’opuscule de Cyprien Bernard et Lou Diamant de Sant-Maime, paru en 1893, magnifique poème provençal écrit par le félibre forcalquiérien Eugène Plauchud dont nous donnons quelques extraits traduits en français. Nous citons, pour la compréhension des textes, l’histoire des quatre reines, magnifiquement contée par Thyde Monnier : La Ferme des quatre reines, parue aux Editions Plon en 1963… Ouvrage qui se trouve dans toutes les grande bibliothèques départementales. Notre ouvrage n’est donc pas une nouvelle histoire des quatre reines… C’est l’Histoire de la Haute Provence, de ses mœurs, de ses coutumes et de ses habitants, Pays où sont nées et ont vécu les quatre filles de Raymond Béranger et Béatrice de Savoie, qui, toutes quatre furent reines des quatre plus grands pays d’Europe… L’Union Européenne avant l’heure. Nous rappelons également qu’une des petites filles de Raymond Béranger fut impératrice de Constantinople, unissant ainsi l’Orient à l’Occident…
Le livre intitulé Les Demoiselles de la Provence, écrit par un célèbre présentateur de la télévision française, est en fait un plagiat du livre de Thyde Monnier, de divers autres auteurs, dont nous-mêmes… Et cela est fort dommageable…

1996, 262 pages, 25

QUAND LA CHINE DORMAIT
QUAND LA CHINE DORMAIT

« … Alors, je me mis à souhaiter pour ce grand empire si digne d'intérêt et de sympathie une rénovation qui le retrempât tout entier ; je rêvai pour lui une main énergique qui harmonisât ces éléments disparates, un chef enfin qui, mettant au service d'une idée élevée ces deux forces, le travail, le respect de l'autorité, leur imprimât une puissance d'irrésistible expansion. » Ainsi parlait… Gaston de Bezaure. Bernard Falque de Bezaure, son petit-neveu, ancien bibliothécaire de la Bibliothèque Méjanes d'Aix en Provence, archiviste de formation, fut chargé par les conservateurs de cette bibliothèque du département relations et recherches auprès des universitaires, historiens et chercheurs. Issu d'une famille de diplomates dont le grand-père et le grand-oncle furent consul, ambassadeur, ministre plénipotentiaire en Europe, en Asie. Gaston de Bezaure s'illustra en Chine où il remplit ses fonctions pendant de nombreuses années avant de se retirer dans son château de Luzier, dans le Périgord et chez son frère, au château de Sauvan, à Mane, dans les Alpes de Haute Provence. C'est cette aventure que nous faire revivre Bernard Falque de Bezaure, à travers les écrits de son grand-oncle.

2004, 310 pages, 25

LE CHÂTEAU FANTÔME DE L'AUTOROUTE NORD
LE BON ROI RENÉ EN PROVENCE
UNE FÊTE CHAMPÊTRE EN SON PAVILLON DE CHASSE AUX AYGALADES
LE CHÂTEAU FANTÔME DE L'AUTOROUTE NORD

Cet ouvrage est un hommage à la culture et aux arts populaires que créa en Provence le Roi René d’Anjou-Provence-Lorraine. Le lecteur y trouvera l’origine de sa famille, la célèbre famille d’Anjou qui donna, avec Foulques d’Anjou, un des premiers chevaliers de l’Ordre du Temple, et qui devint roi de Jérusalem. Il était l’époux de Morfa, princesse Roupen, des rois d’Arménie. C’est lui qui transmettra la Croix à double traverse dite de Lorraine à la Maison d’Anjou, la croix des Grands Maîtres de la Milice du Temple. Croix donnée en 1940 à Londres par l’Amiral Muselier au Général De Gaulle, qui en fera le symbole de la France Libre. Les festivités populaires inaugurées au château des Aygalades par le roi René furent reprises par Jean-Baptiste Falque lorsqu’il l’acheta en 1834. C’est dans ce magnifique château, situé sur les hauteurs de Marseille que Georges Sand séjourna quelques jours avec Chopin Le souvenir du Bon Roy René s’éteignit un jour d’automne 1943 lorsque les bulldozers de la ville de Marseille l’aplatirent… pour construire l’Autoroute Nord. Le 23 août 2007, Myriam Guillaume dans la Marseillaise publiait comment on pouvait encore visiter les caves, souterrains et salles voûtées du château fantôme des Aygalades, dont il subsiste quelques vestiges sous l’Autoroute Nord. Il fut rasé à la hauteur du premier étage et enseveli. Son propriétaire, Xavier Falque de Bezaure, n’eut d’autre ressources que de transporter mobilier ancien, tableaux, objets d’art, archives au château de Sauvan, à Mane dans les Alpes de Haute Provence, ouvert à la visite lors de son classement aux Monuments Historiques, après qu’il l’eût entièrement restauré. Cette journaliste rappelle comment le grand-père de Xavier Falque fonda l’Association des Travailleurs du Livre, qui devint plus tard le Syndicat du Livre, la C.G.T. actuelle.

2009, 170 pages, 25

ARMORIAL DES COMMUNES DES BOUCHES-DU-RHÔNE
ARMORIAL DES COMMUNES DES BOUCHES-DU-RHÔNE
TOME I

Ce livre facilitera la compréhension de certains événements et aidera à mieux comprendre la formation territoriale et communale de notre région souvent expliquée à travers les armoiries, véritables cartes d’identité de nos villages et de nos communes. Les Armoiries Municipales ne représentent pas des dessins plus ou moins artistiques ; elles sont régies par des règles strictes, et les symboles correspondent à un langage idéographique et phonétique dont la traduction explique, par un seul coup d’œil, l’Histoire de la Commune et des événements importants qui se sont déroulés sur son territoire. Cet ouvrage correspond à un réel besoin de notre époque, curieuse de notre mémoire du passé, outil de recherches qui permettra aux Maires, aux Élus, et à toute personne curieuse de ses racines, d’avoir un réel aperçu de l’histoire de leurs Communes, de leurs villages. Aujourd’hui certaines armoiries municipales ne sont plus celles enregistrées officiellement au Sceau de France à Paris, connu sous le nom de Grand Armorial de d’Hozier. Cet armorial des Communes correspond à l’Armorial officiel suivant le décret du 11 septembre 1816 et à la circulaire de 1835, toujours en vigueur sur le plan juridique.

2000, 434 pages, 58

ARMORIAL DE MARSEILLE ET DE SES QUARTIERS
ARMORIAL DE MARSEILLE ET DE SES QUARTIERS
TOME II

Ce livre facilitera la compréhension de certains événements et aidera à mieux comprendre la formation territoriale et communale de notre région souvent expliquée à travers les armoiries, véritables cartes d’identité de nos villages et de nos communes. Les Armoiries Municipales ne représentent pas des dessins plus ou moins artistiques ; elles sont régies par des règles strictes, et les symboles correspondent à un langage idéographique et phonétique dont la traduction explique, par un seul coup d’œil, l’Histoire de la Commune et des événements importants qui se sont déroulés sur son territoire. Cet ouvrage correspond à un réel besoin de notre époque, curieuse de notre mémoire du passé, outil de recherches qui permettra aux Maires, aux Élus, et à toute personne curieuse de ses racines, d’avoir un réel aperçu de l’histoire de leurs Communes, de leurs villages. Aujourd’hui certaines armoiries municipales ne sont plus celles enregistrées officiellement au Sceau de France à Paris, connu sous le nom de Grand Armorial de d’Hozier. Cet armorial des Communes correspond à l’Armorial officiel suivant le décret du 11 septembre 1816 et à la circulaire de 1835, toujours en vigueur sur le plan juridique.

2000, 208 pages, 58

MOI, MARSEILLE — MA LÉGENDE DES SIÈCLES
MOI, MARSEILLE — MA LÉGENDE DES SIÈCLES

Ma légende des siècles est en réalité la légende des millénaires, celle des peuples qui se sont rencontrés dans ma rade... Des dieux (Massilia en punique-Phénicien). Il s'agit, entre autres, des Peuples de la guerre du feu entre la Durance et Nice il y a 700 000 ans où furent découvertes les premières maîtrises du feu de l'humanité. C'est aussi l'histoire du déluge provençal de la Tyrrhénide, à l'époque où les eaux montaient à plus de 30 mètres de hauteur : c'est le secret de la Grotte Cosquer aujourd'hui à 36 mètres de profondeur dans les calanques marseillaises. Un autre secret : celui de mes origines... Crétoises par le Massallia, grand fleuve de l’île de la Crête, île détruite par le volcan le Santorin. Mes origines phrygiennes, ou cantabro-ibères de Trace à l'époque des mégalithes avec mon… Dragon, la Tarasque connue sous le nom du Scamandre, fleuve sacré de Phrygie. Dans la philologie, l’évolution de mon nom s’explique par les surprenantes origines des peuples qui sont venus dans mes bras. Ceci explique les origines des mots suivants : Massallia, Marsi-Illia, Masselha Veyre (la Rade du Dragon), et pat la suite avec l’arrivée des Sarrasins : Marselha du nom de la Grande Mosquée de Marseille ; Mars el Allah (le port de Dieu ou d'Allah) construite par les Omeyades de Cordoue. A cette époque où l’on parle d’un Parlement Méditerranéen, je me dois d’être le point de départ d’un pont enjambant la Méditerranée pour rejoindre mes villes-sœurs de la rive d’en face… Et « si tous les gars… (de la Méditerranée) pouvaient se donner la main »… Alors notre troisième millénaire commencerait sous de bons auspices, placé sous la protection de la Bonne Mère.

2000, 102 pages, 25

ARMORIAL DES COMMUNES DU VAR
ARMORIAL DES COMMUNES DU VAR

Ce livre facilitera la compréhension de certains événements et aidera à mieux comprendre la formation territoriale et communale de notre région souvent expliquée à travers les armoiries, véritables cartes d’identité de nos villages et de nos communes. Les Armoiries Municipales ne représentent pas des dessins plus ou moins artistiques ; elles sont régies par des règles strictes, et les symboles correspondent à un langage idéographique et phonétique dont la traduction explique, par un seul coup d’œil, l’Histoire de la Commune et des événements importants qui se sont déroulés sur son territoire. Cet ouvrage correspond à un réel besoin de notre époque, curieuse de notre mémoire du passé, outil de recherches qui permettra aux Maires, aux Élus, et à toute personne curieuse de ses racines, d’avoir un réel aperçu de l’histoire de leurs Communes, de leurs villages. Aujourd’hui certaines armoiries municipales ne sont plus celles enregistrées officiellement au Sceau de France à Paris, connu sous le nom de Grand Armorial de d’Hozier. Cet armorial des Communes correspond à l’Armorial officiel suivant le décret du 11 septembre 1816 et à la circulaire de 1835, toujours en vigueur sur le plan juridique.

2000, 430 pages, 45

ARMORIAL DES COMMUNES DES ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE
ARMORIAL DES COMMUNES DES ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE

Ce livre facilitera la compréhension de certains événements et aidera à mieux comprendre la formation territoriale et communale de notre région souvent expliquée à travers les armoiries, véritables cartes d’identité de nos villages et de nos communes. Les Armoiries Municipales ne représentent pas des dessins plus ou moins artistiques ; elles sont régies par des règles strictes, et les symboles correspondent à un langage idéographique et phonétique dont la traduction explique, par un seul coup d’œil, l’Histoire de la Commune et des événements importants qui se sont déroulés sur son territoire. Cet ouvrage correspond à un réel besoin de notre époque, curieuse de notre mémoire du passé, outil de recherches qui permettra aux Maires, aux Élus, et à toute personne curieuse de ses racines, d’avoir un réel aperçu de l’histoire de leurs Communes, de leurs villages. Aujourd’hui certaines armoiries municipales ne sont plus celles enregistrées officiellement au Sceau de France à Paris, connu sous le nom de Grand Armorial de d’Hozier. Cet armorial des Communes correspond à l’Armorial officiel suivant le décret du 11 septembre 1816 et à la circulaire de 1835, toujours en vigueur sur le plan juridique.

2012, 360 pages, 45

LE CHÂTEAU DE SAUVAN
LE CHÂTEAU DE SAUVAN

« Le lecteur trouvera dans cette monographie, des documents démontrant les propos mensongers des actuels occupants du Château de Sauvan, concernant l’histoire du château et de cette lignée des Forbin-Janson.
L’étude intéressante et fouillée que Maître Xavier Falque de Bezaure consacre à son beau château vient combler une lacune malheureuse : il était en effet regrettable que cet édifice, aux proportions à la fois si classiques et si pures, ne possédât pas encore de monographie.
Monsieur et Madame Falque de Bezaure veillent avec un soin digne de tous les éloges sur cette belle demeure ancestrale qui leur est justement chère, et cette étude, où l’histoire généalogique complète la monographie du monument, parfait leur sollicitude.
Les vieilles pierres ont un charme qui retient ceux qui méritent le nom de civilisés, et le dédain à leur égard est un bien mauvais signe. C’est là un reproche qu’on ne fera certes point aux propriétaires du château de Sauvan qui continuent très dignement, et par la plume et par les soins vigilants, ces Forbin-Janson, l’une des belles tiges de ce parterre de vieilles et nobles familles dont notre Histoire provençale est pleine et qui se rattache à l’Histoire de France. »

(Raymond Collier, Archiviste en Chef des Basses-Alpes, Conservateur des Antiquités et Objets d’Art)

1997, 90 pages, 12

CUISINE ET POTIONS DES TEMPLIERS - 52 RECETTES
ROLLANDE FALQUE DE BEZAURE
CUISINE ET POTIONS DES TEMPLIERS - 52 RECETTES

C’est au cours d’une enquête sur le mode de vie dans les Commanderies, Auberges-Hostelleries ou Auberges-Hospices que Rollande Falque de Bezaure s’est particulièrement intéressée au problème de la nutrition des pèlerins et des populations affamées par les guerres incessantes du Moyen-Âge. En suivant les traces de son enquête, nous découvrons, de l’Atlantique à la Mer Morte, à travers L’Espagne, l’Italie, la Grèce, l’Asie mineure, la Palestine, l’Egypte… l’art de cette cuisine frugale et simple étroitement liée au climat rude et au mode de vie de nos aïeux. C’est un aubergiste libanais d’Adana qui lui révéla que ses recettes venues du fond des âges, totalement différentes de celles que l’on trouve généralement sur les côtes égéennes, sont en fait l’antique cuisine des Croisés, ces chevaliers au manteau blanc et à la croix rouge. Les Templiers ramenèrent d’Orient le livre de recettes d’un neveu de Saladin, le “Wusla ila al-habib”, en même temps que les produits trouvés en Orient qu’ils acclimatèrent dans les Commanderies agricoles d'Occident. Par ses recherches dans les archives de la Bibliothèque Nationale, dans les archives orientales, grâce à ses connaissances des langues de l’Orient, l’auteur nous apprend que la nourriture était différente selon que l’on était noble ou paysan. Ce livre est un long voyage culinaire d’Orient en Occident qui nous fait découvrir cette cuisine magique, dite « Cuisine du Chaudron », origine de la cuisine exotique moderne que nous retrouvons tout autour de la Mare Nostrum. Toutes les recettes de cet ouvrage ont été réalisées par l’auteur et peuvent être facilement reproduites chez soi. La deuxième partie de cet ouvrage consacre un chapitre à la Pharmacopée médiévale, tant il est vrai que « l’on creuse sa tombe avec ses dents ».

2000, 300 pages, 28

QUAND PYTHAGORE REÇOIT CONFUCIUS, PLATON ET LES AUTRES…
ROLLANDE FALQUE DE BEZAURE
UN DINER-DÉBAT DANS L'ANTIQUITÉ - TOME I
QUAND PYTHAGORE REÇOIT CONFUCIUS, PLATON ET LES AUTRES…
(polar historique)

Dans la littérature moderne, nul n’a songé à réunir dans un seul ouvrage les biographies des savants. Plusieurs recueils ont été publiés contenant les Vies des Saints, des grands capitaines, des peintres, des musiciens… Personne en France ou à l’étranger n’a entrepris de raconter au public la vie de tous les grands maîtres de la Science, en un seul ouvrage. Notre amour pour la Science, les Sciences Plurielles, nous a fait imaginer dans une Première Partie un scénario, plutôt moderne — c’est le moins que l’on puisse dire — qui permettra de faire connaître avec plus de convivialité les Savants de l’Antiquité et d’éclairer des peuples ignorants dont la seule culture s’arrête à l’inculture télévisuelle. C’est au cours d’un dîner-débat, qu’un journaliste de renom interviewe ces Immortels rassemblés autour d’une table ronde. Il faut savoir que le banquet est une institution grecque. Le mot grec sumposion (beuverie) désigne une réunion entre amis où le chef du banquet, le symposiarque, dirige les débats (Ici, le grand Léonidas Zitronéikos). Tous n’étaient pas contemporains… Mais nous laisserons notre imagination errer au cours des siècles… Où l’on apprend qu’un crime est commis, un attentat contre la Science… Enquête menée par le grand détective Héraclès Porotikos dans la paisible cité des Sciences : Ephèse, au pied du temple de Diane. Fiction ou réalité… Afin de pouvoir mettre un visage à chaque nom de ces savants illustres, nous reproduisons des documents iconographiques, des copies de bustes, des portraits, des monuments qui les concernent.

2009, 327 pages, 28

IL ÉTAIT UNE FOIS L'ARMÉNIE
ROLLANDE FALQUE DE BEZAURE
IL ÉTAIT UNE FOIS L'ARMÉNIE

Dans ma famille, on parlait souvent d’une grand-mère Circassienne, Annette, mais cela était très loin dans le temps et dans l’espace pour les enfants que nous étions. Devenue adulte, je n’ai cessé de regarder dans la direction de ces lointaines contrées d’Asie Centrale, en bordure du Caucase, et ce n’est qu’à un âge avancé que ce désir justifie mon audace à vouloir raconter à tous l’Histoire de l’Arménie et, à travers ce récit, l’Histoire d’un peuple fier et courageux, auquel appartient Annette, que nous appelons dans ma famille Annette l’irréductible, ou encore l’indomptable... Dans la Bible, l'histoire sacrée, nous pouvons lire qu'après le Déluge l’Arche s'arrêta sur les monts d'Arménie, le Mont Ararat ; certains auteurs se sont même efforcés de prouver que l'Arménie serait le Paradis Terrestre. L’Arménie est, sans aucun doute, l’une des plus anciennes nations. Nous pensons, que toutes les parties du monde furent peuplées par les descendants de Sem, Cham, et en ce qui concerne l’Arménie de Japhet, tous trois fils de Noé. De nombreux sites attestent la présence d’un paléopeuplement sur les flancs de l’Ararat. C’est l’Histoire de ce peuple fier, qui pendant des siècles domina le monde, que j’ai voulu faire découvrir à mes lecteurs, avec ma propre sensibilité ; et si par moments transparaissent quelques points de vue philosophiques, c’est pour mieux donner l’image totale que j’ai en mon esprit de ce pays qui fut le berceau de la culture et de la civilisation. Plus j’avançais vers ce passé fascinant, plus j’aimais Annette. Ce vaste territoire attira les convoitises de ses voisins avides de conquêtes, dont elle eut à souffrir les humiliantes dominations. L’Arménie changea souvent de maîtres, parmi lesquels Gengis-Khan le puissant et Tamerlan le cultivé. Mais ce peuple, soudé par un puissant nationalisme, parvint à s'affranchir du joug de l'étranger et à avoir ses propres souverains. L’Histoire de l’Arménie et de son peuple nous montre bien que l’identité nationale d’un peuple est étroitement liée à sa tradition religieuse, à son identité culturelle, à sa langue, lien indispensable à toute assimilation.

Rollande Falque de Bezaure, docteur en Ecologie Méditerranéenne, Certificate on Profeciency de l’University de Cambridge, présidente de l’Association Rencontre Méditerranée, est issue d’une famille levantine d’origine provençale installée à Smyrne au XVIIIe siècle. Sa famille donna deux Commandeurs à la Milice du Temple de Salomon de la Commanderie de Roaix, dans leVaucluse.

2007, 285 pages, 28

HAÏTI, VOYAGE D'UN NATURALISTE – 1799-1803
HAÏTI, VOYAGE D'UN NATURALISTE – 1799-1803

Michel-Etienne Descourtilz relate son voyage et son séjour dans la partie française de l’île d’Hispaniola, (nom que lui donna Christophe Colomb) : Haïti. « À l'origine, l'île était peuplée par les indiens Arawaks (ou Taïnos) et les Caraïbes. Les premiers indigènes  avaient nommé leur île, Ayiti, c'est-à-dire Terre des hautes montagnes ». Ce document est un des plus curieux et des moins connus que nous possédons sur le gouvernement du fameux Toussaint-Louverture en Haïti, dont les livres d’Histoire ne mentionnent que rarement le nom. Ce livre, très attrayant, nous dépeint la vie et les mœurs de peuples où le vivre ensemble n’était pas toujours facile, tant les dissensions entre les communautés étaient grandes. Le récit de sa captivité, qui forme la partie la plus attachante du livre, succède à des peintures de la vie que menaient les blancs, au milieu de ces populations d’esclaves noirs venus d’Afrique… Un bref historique de cette île des Antilles Françaises permettra de mieux comprendre les diverses occupations espagnole, anglaise et française qui, tout au long des siècles, depuis la découverte d’Hispaniola, s’acharnèrent à soumettre un peuple déjà éprouvé par tant d’années d’esclavage…

2009, 220 pages, 25

NOUS… LES COURGES. NOTRE HISTOIRE, NOS BIENFAITS
ROLLANDE FALQUE DE BEZAURE
NOUS… LES COURGES. NOTRE HISTOIRE, NOS BIENFAITS

Dans ce livre, nous avons voulu mettre à l’honneur la courge, ce légume oublié, dont les bienfaits sont reconnus tant en cuisine qu’en pharmacopée… Nos recettes, à la gloire de la courge, sont une anthologie des meilleures recettes de nos grands-mères, de la cuisine régionale, ces spécialités de nos provinces. Nous jetterons aussi un coup d’œil par dessus les frontières, afin de glaner quelques bonnes recettes. L’Antiquité européenne fait déjà mention de la courge. L’écrivain romain Pline en distinguait plusieurs types, tout en donnant des conseils pour leur culture et utilisation. Dans la Grèce Antique, les courges étaient le symbole de la fécondité, de la prospérité et de la bonne santé. Le terme « citrouille » est d'abord apparu dans la langue en 1256 sous la forme de « citrole », pour prendre sa graphie actuelle en 1549, époque où Nostradamus mit à l’honneur la courge dans ses confitures… Il a fallu attendre le XXe siècle pour qu'on leur reconnaisse vraiment leurs qualités culinaires et qu'elles trouvent leur place sur le marché.

2010, 230 pages, 25

MARSEILLE, SES CAFÉS
BERNARD ET ROLLANDE FALQUE DE BEZAURE
Sur la trace d'Horace Bertin
MARSEILLE, SES CAFÉS
LE CAFÉ, ENTRE LÉGENDE ET HISTOIRE

Il est loin le temps où l’on se laissait emporter par cette flânerie dans Marseille, ville bouillonnante, avec tous ses petits métiers aujourd’hui disparus, ses innombrables cafés où l’on se retrouvait pour se parler… Il est loin le temps où les bouquinistes étalaient leurs livres aux yeux d’amateurs toujours en quête du plus rare… Il est loin le temps où les cuisinières et les garçons d’hôtels se pressaient dans les boucheries, chez les épiciers, à la halle… Dans la première partie de notre ouvrage, nous laissons la parole à Horace Bertin, qui, dans un style léger et précis, nous invite à une promenade dans Marseille où rien n’a échappé à son regard. Dans son Histoire anecdotique des cafés de Marseille, nous ses lecteurs des Temps Modernes, découvrons ou redécouvrons avec un peu de nostalgie la ville et sommes étonnés de la voir d’un œil nouveau ; Marseille qui s’éveille, travaille, se distrait et s’endort. Qu’il est loin ce temps… Dans la seconde partie de notre ouvrage nous nous penchons sur ce phénomène de société qui disparaît peu à peu, si présent pourtant aux siècles passés : la convivialité, l’échange, le partage, en un mot : l’amour d’être ensemble, et pourquoi pas… devant un petit k'hawa, cette boisson noire et amère qui, un jour, dans un pays lointain fit tourner la tête… à un troupeau de chèvres !

2010, 125 pages, 25

LA TRUFFE ET SA PRODUCTION
ROLLANDE FALQUE DE BEZAURE
LA TRUFFE ET SA PRODUCTION
Histoire naturelle - Production - Récolte - Qualités - Emplois

La truffe est célèbre depuis l'Antiquité, mais ce fut Brillat-Savarin qui lui donna ses véritables lettres de noblesse. En effet, pendant longtemps, la truffe servit à toutes les sauces, et ne fut pas cuisinée à son avantage. Accommodée le plus souvent avec de nombreuses épices, elle perdit tout son goût.
D’après Athénée (170-230), les truffes étaient servies chez les Romains à la fin des repas, marinées dans une sauce de gingembre et de cannelle. Dioscoride, Cicéron, Pline, Plutarque, Juvénal, Lucullus et Apicius (maître de bouche célèbre à Rome) tenaient la truffe en très haute estime et la considéraient comme un « présent » des dieux. Les Grecs et les Romains prêtaient également à la truffe des vertus thérapeutiques (fortifiante, anti-vomitive, anti-douleur, cicatrisante), et aphrodisiaques, pouvoir qu’on lui reconnaissait encore au Moyen-Age. Les Arabes connaissaient la truffe, et la faisaient cuire dans un jus d'herbes aromatiques. Quant au grand médecin arabe Avicenne, il la recommandait aux malades. La truffe réapparait à la Renaissance, remise à la mode culinaire par les Papes venus en Avignon, et elle devint ainsi l'ordinaire des fêtes princières dans le Royaume de France.
D’après Gaspard Chatin, la culture de la truffe serait née dans le Sud-Est, dans le village de Saint-Saturnin-lès-Apt où vivait Joseph Talon, un jeune agriculteur de 15 ans, qui, en 1808, planta sur un hectare de mauvaise herbe, des glands. Aujourd’hui, trône sur la place centrale, le fondateur statufié.
Les textes très stricts, relatifs à la Règlementation concernant la truffe sont établis par le parlement de Provence entre 1603 et 1724. On trouve ainsi quelques statuts rédigés par des communes de Provence : « Il est défendu de faire chercher aux cochons des truffes dans les fonds d’autrui sous peines d’amendes ou encore qu’il est pareillement défendu aux étrangers de venir chercher des truffes à leurs cochons dans le terroir à peine de confiscation de leur cochon. Défense à toutes personnes de fouiller les truffes dans les propriétés d’autrui sans la permission du propriétaire. »

2011, 60 pages, 12